Arsenic et Vieilles Dentelles
Le
P'tit Seize, le ciné-club de Saint-Rivoal
a l'immense joie de vous convier
le samedi 5 juin à partir de 19 h à sa fête annuelle
"Vent
de folie douce" :
Apéritif offert, repas,
musique jazzy avec Myriam et Yves et un
film un peu fou aussi,
"Arsenic et vieilles dentelles"
de
Frank Capra -
1944
- 118 minutes
Abby
et Mantha Brewster, deux charmantes vieilles dames, ont une étrange
habitude :
pour éviter une vieillesse solitaire et douloureuse
aux hommes âgés dont elles font la connaissance,
elles leur font
boire un vin de mûre additionné d’arsenic.
Un de leur neveu, Teddy, enterre les cadavres dans la cave. Pour lui, les défunts sont victimes de la fièvre jaune.
C’est
alors qu’un autre neveu, Mortimer (Cary GRANT), farouche partisan
du célibat (il fait des conférences à ce propos) est prit en
flagrant délit de mariage
et vient perturber la vie rangée de ses
deux tantes .
Tiré
d’une pièce de théâtre à succès (3 ans et demi à Broadway),
mis en valeur par une extraordinaire performance d’acteurs (dont
Peter Lorre en Docteur Einstrein...),
ce film, aux enchaînements
cocasses parfaits et aux dialogues percutants, ravira les
nostalgiques d’un genre de comédie aujourd’hui disparue.
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Difficile de dire qui, dans la famille Brewster, est le plus fou ! À première vue, Teddy, persuadé d’être le président des États-Unis et creusant avec joie le « Canal de Panama » dans la cave semble l’emporter : c’est le « dingo » de la famille. Bien moins inoffensif, son frère Jonathan représente, lui, le monstre, le sadique dont le seul souvenir glace le sang de ses proches. Les tantes, quant à elles, cachent beaucoup mieux leur jeu : perçues par tous comme des anges de bonté, elles sont persuadées de faire le bien. Mais y réussissent-elles ? En faisant le compte de leurs « bonnes actions », elles arrivent à égalité avec les « mauvaises » de l’affreux Jonathan ! Le cas de Mortimer est plus compliqué : à partir du moment où il découvre les activités insoupçonnées de ses tantes, sa raison est mise à rude épreuve. Il se démène pour régler les problèmes de cette famille mais se laisse lui-même envahir par la folie ambiante : il se met à parler seul, hurle au téléphone, jette sa femme dehors et se comporte de telle façon avec le juge que ce dernier se demande s’il envoie le « bon » Brewster à l’asile.
Au fur et à mesure que les personnages apparaissent et que l’intrigue se complique, la folie gagne tout le monde...
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Vous
pouvez d'ores et déjà réserver vos places en téléphonant à Marie, la chargée de com, au : 02 98 24 13 65 ou proposer votre aide pour le samedi
à partir de 10 heures (jusqu'à pas d'heure...) en appelant ce même
numéro.
Et comme chaque année, nous nous permettons de faire un énorme appel à gâteaux (ou autres desserts au choix) à tous nos fidèles et merveilleux adhérents...
Prix de la soirée :
7 €uros le repas adulte – 3,50 € le repas enfant
3
€uros la projection pour les
adhérents à jour de leur adhésion annuelle
(Adhésion individuelle : 2 € - Adhésion familiale : 3 €)
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Si le temps le permet, un tantad achèvera la soirée en douceur...
A tout bientôt et sans arrière-pensées...
La même (un peu trop) chargée (de com) a le plaisir de vous annoncer le prochain évènement du ciné-club (dont elle vous reparlera) :
Projection exceptionnelle le vendredi 9 juillet à 21 heures en avant-première du Festival de Douarnenez qui naviguera cette année aux Caraïbes
Programme Bretagne
Le plus produit de Gaël Naizet
Fiction, 10', France, 2009
Le cabinet Shapiro recrute. Trente-huit personnes attendent, toutes
convoquées à un entretien. Ces candidats ont un fort potentiel. Comment
départager ces postulants ?
La carte de Stefan Le Lay
Fiction, 7'30, France, 2009
Un jeune homme qui vit dans une carte
postale en couleurs tombe amoureux d’une jeune femme qui vit dans une
carte postale en noir et blanc. Il est prêt à tout pour la rejoindre et
surtout rester avec elle.
Programme Caraïbe
Ma grena et moi de Gilles Elie-dit-Cosaque
Documentaire, 52', Guadeloupe, 2004
La grena’ est le surnom donné aux Antilles à la mythique mobylette
de Motobécane. Elle y a eu un tel impact qu'à une époque on pouvait
dire qu'elle faisait office de baromètre social. "Ma grena’ et moi" est
le portrait des derniers irréductibles qui la chevauche encore et, au
delà de ça,un instantané de la société Guadeloupéenne.
Photo offerte par Camille du Daoulagad Breizh